Jepense encore à mon ex. Bonsoir à toutes et à tous Voilà cela fait maintenant 3 mois que c'est terminé avec mon ex. Il y avait bcp de hauts et de bas entre nous c'était assez difficile, au début tt allé bien puis à partir d'un certain moment il me fesait la misÚre Mais moi je
Le hĂ©risson en avait assez, depuis plusieurs jours il Ă©tait presque toujours dans sa chambre et ne faisait rien. Pas la moindre mission, pas les moyens de se dĂ©placer Ă cause de ses pouvoirs dĂ©faillant et du prix des transports de la Shinra. Cela faisait dĂ©jĂ quelques minutes quâil câĂ©tait mis Ă marcher de long en large dans la piĂšce comme un animal en cage. Au bout dâun moment, son Ă©nervement Ă©tait tel quâil finissait par frapper du poing le casier mĂ©tallique quâil avait fait installer dans la chambre, pliant la porte supĂ©rieure en deux. Il restait immobile quelques secondes avant dâenlever sa main et de se diriger vers la sortie. Dans le jardin, il remarquait que le soleil Ă©tait en train de se coucher. Il prenait alors la direction de la grande porte dorĂ©e permettant de sortir du chĂąteau. Deux gardes se tenaient Ă lâentrĂ©e et croisaient leur lance face Ă la porte Ă son approche.â- DĂ©solĂ© Monsieur, toute sortie est interdite, la zone est dangereuse pour le Vous nâavez pas la moindre idĂ©e de ce quâil câest passĂ© la derniĂšre fois que deux personne mâont demandĂ© de m'arrĂȘter nâest ce pas ?- Monsieur, nous avons des ordres !- Il faut croire que ça va finir de la mĂȘme maniĂšre...âLes deux soldats avaient fait lâerreur de pointer leurs lances vers lui et le hĂ©risson câĂ©tait saisi dâune dâentre elle avant de soulever son porteur en la levant avant de frapper le second avec son collĂšgue et son arme. Ils essayaient ensuite de se relever et Shadow claquait leurs tĂȘte lâune contre lâautre avant de les laisser au sol.âCâest toujours la mĂȘme chose avec les troufions de baseâIl repensait aux soldat des qui avaient tentĂ© de l'arrĂȘter dans son propre jeu Ă lâĂ©poque et quâil avait tous simplement assommĂ© dâun coup de pied et dâun coup du plat de la main. Il continuait alors son chemin et sortait du bĂątiment, prenant la direction de sa moto, lâenfourchant et partant vers le village que lâombres quâil avait Ă©liminĂ©e en patrouillant le chĂąteau avait tentĂ© de rejoindre. Lorsquâil arrivait sur place, la nuit Ă©tait tombĂ©e depuis quelques minutes dĂ©jĂ . Il posait alors le pied Ă terre et reprenait son lui paraissait lugubre, privĂ© de lumiĂšre et de vie depuis le dĂ©part de ses habitants. Le hĂ©risson marchait alors dans la rue principale en ligne droite, observant dâun cotĂ© comme de lâautre, tentant de ne pas se faire surprendre. MĂȘme si il essayait de ne pas le laisser paraĂźtre, il devait bien avouer que les lieux ne le rassurait pas vraiment et quâil aurait sĂ»rement prĂ©fĂ©rĂ© se dĂ©cider plus tĂŽt et y venir en journĂ©e pour avoir lâoccasion de voir dâĂ©ventuel sans-coeurs plus facilement. Le seul point qui le consolait, câĂ©tait de ce dire quâils devaient probablement avoir autant de mal Ă le alors que sans mĂȘme sâen rendre compte il sâĂ©tait mis Ă faire le calcul du nombre dâanneaux quâil lui restait, basĂ© sur ceux quâil avait perdu et rĂ©ussis Ă rĂ©cupĂ©rer durant les combats. Au final il en avait perdu assez peu pour le moment, mais dans le mĂȘme temps il nâavait pas lâimpression dâavoir accomplit quoi que ce soit de trĂšs important. Il Ă©tait maintenant suffisamment loin pour que la lumiĂšre du phare de sa moto ne l'Ă©claire plus rĂ©ellement et il s'arrĂȘtait donc, Ă la frontiĂšre entre lâombre et la clartĂ©. Il avait alors un moments dâhĂ©sitation, avant de faire demi-tour et de se diriger vers son vĂ©hicules pour couper le moteur, Ă©vitant ainsi dâuser plus de carburant que nĂ©cessaire et dâendommager la hĂ©risson se remettait alors en route en brandissant une lampe torche dans sa main droite et un revolver dans la gauche. Il sâĂ©loignait alors Ă nouveau explorant les diffĂ©rentes rues et ruelles Ă la recherche du moindre indice.âSi ces fichues bestioles laissaient des traces derriĂšre elles ça serait beaucoup plus facile.âUn bruit attirait alors son attention, celui de la porcelaine brisĂ©e Ă l'intĂ©rieure dâune maison. Il sây prĂ©cipitait alors, enfonçant la porte dâun coup dâĂ©paule avant de pointer son arme et sa source de lumiĂšre devant lui. Rien de rien⊠JusquâĂ ce quâune silhouette nâattire son attention en hululant.âUn hiboux ? Comment tâest entrĂ© ici toi ?âLâanimal ne rĂ©agissait pas outre mesure, avant de soudainement sâenvoler par la porte en frĂŽlant le hĂ©risson que se dĂ©calait, juste Ă temps pour voire une flĂšche se ficher dans le chambrant de bois. Il se retournait alors et voyait un trio de silhouette sur un toi, chacune portant une sorte dâarc Ă flĂšche et une armure⊠Mais dont le regard ne laissait aucun doute sur leur espĂšce.âDes sans-coeurs...âUne nouvelle salve se dirigeait vers le personnage de jeu vidĂ©o, qui lâesquivait dâune simple roulade Ă droite avant dâenvoyer deux tir successif en direction dâune des crĂ©atures, le premier tir Ă©clatant un groupe de tuiles avant que le seconde ne traverse le torse de lâarcher, le laissant disparaĂźtre sous la forme dâune brume sombre. Les deux autres ne semblait pas spĂ©cialement affectĂ© par la disparition de leur congĂ©nĂšre et se contentaient de viser Ă nouveau. Mais hors de question pour Shadow de leur donner une autre chance de lui tirer sprintait jusquâĂ un amas de caisse, avant de sauter sur ce dernier, puis sur les toi, se jetant sur son premier ennemi pour le frapper de toutes ses force, avant d'enchaĂźner sur deux coup plus lent et un dernier Ă puissance maximale. Une autre flĂšche le ratĂ© alors de peu, bientĂŽt rejointe par trois autres, provenant dâun autre toi.âEn voilĂ dâautres⊠Mince, on dirait quâils sont nombreux.âSur les toits de plusieurs habitations, des groupes de six yeux jaunes luisant apparaissait progressivement de plus en plus nombreux et lointains. la lune Ă©tait alors entrecoupĂ© de nombreux traits. Le hĂ©risson ne pouvait que sauter en arriĂšre et se rĂ©ceptionner du mieux quâil pouvait dans la rue avant de se cacher sous le couvercle dâun tonneau. Plusieurs projectiles avaient atteint son bouclier de fortune et il dĂ©cidait de lâabandonner sur place avant de se mettre Ă crĂ©atures des tĂ©nĂšbres continuait alors de le poursuivre et il ne se retournait que de temps Ă autres pour tirer sur celles qui se rapprochaient trop et les forcer Ă reculer un peu. Les archers Ă©taient maintenant rejoint par des ombres, des soldats et quelques autres sans-coeurs quâil ne prenait pas le temps dâidentifier. La masse sombre derriĂšre lui ne faisait que croĂźtre, lui laissant comprendre lâerreur quâil avait faite en venant ici seul. Il changeait alors de direction rĂ©guliĂšrement, utilisant les rĂ©trofusĂ©es de ses chaussures pour se dĂ©placer le plus vite possible et augmenter l'imprĂ©visibilitĂ© de ses mouvements. Il devait changer dâarme au bout dâun moments, les munitions de la premiĂšre Ă©tant Ă©puisĂ©e, puis celle de la seconde et de la dernier chargeur Ă©tait presque vide lorsquâil atteignait finalement sa moto lâenfourchait pour dĂ©taler Ă pleine vitesse, esquivant les vagues de sans-coeurs en zigzaguant et en prenant plusieurs tremplins improvisĂ©s. Il se croyait alors tirĂ© dâaffaire, alors que la vague noire sâĂ©loignait de plus en plus, quand soudainement une lourde main gantĂ©e dâacier le percutĂ©, le projetant contre un mur tandis que son transport continuait en ligne droite avant de tomber. Une gerbes dâune dizaines dâanneaux tombait alors au sol face au hĂ©risson, qui retombait Ă genoux juste aprĂšs. Il relevait alors les yeux avant de sâexclamer.âCâest quoi cette chose ?!âUne armure gardienne se tenait devant lui, sa main se remettant en place avant quâelle ne se mette Ă avancer lourdement vers lui. Il nâavait pas vraiment le temps de rĂ©flĂ©chir et se dirigeait instinctivement vers ses anneaux, en ramassant plusieurs avant dâĂȘtre interrompu par un autre coup de poing Ă distance, qu'il Ă©vitait de justesse avant de rĂ©pliquer en envoyant plusieurs tir en direction du grand sans-coeur. Cependant les balles ne faisaient que rebondir sur sa cuirasse jusquâĂ ce quâil nâen reste plus une seule dans le dernier chargeur du tentait alors de se diriger vers son vĂ©hicules, mais se laissait surprendre par les pieds de son adversaire, qui le frappait de plein fouet. Il se relevaient ensuite dâun bond et regardait autour de lui.âSi je ne mâen vais pas trĂšs vite dâici, ils vont me rattraper! Mais comment battre ce truc ?!âSes mains tremblait et il passait la gauche derriĂšre lui pour se saisir du manche dâune arme de corps Ă corps, dĂ©gainant alors un coutelas noir marquĂ© de plusieurs bandes rouges ici. Lâattaque suivant Ă©tait un coup de poings quâil parvenait Ă peine Ă bloquer du plat de la lame, qui se fissurait alors partiellement, laissant apparaĂźtre une lumiĂšre jaune orangĂ©e lĂ ou elle Ă©tĂ© abĂźmĂ©e. Shadow essayaient ensuite de frapper Ă son tour, touchant la main avant quâelle ne revienne en place. Il nâavait pas lâimpression dâavoir fait le moindre dĂ©gĂąt et son Ă©quipement ne semblait pas apprĂ©cier le traitement quâil Ă©tait en train de se lançait alors dans le combat avec l'Ă©nergie du dĂ©sespoir, frappant sans relĂąche son adversaires et ramassant aussi vite que possible ses anneaux lorsquâil Ă©tait touchĂ©. JusquâĂ ce quâun coup plus puissant que les autres ne vienne le projeter une fois de puis, malgrĂ© le fait quâil venait de le bloquer. Son coutelas volait alors en Ă©clats devant ses yeux alors que lâarme lui Ă©chappait des mains. Une fois de plus, il se redressait, de plus en plus essoufflĂ© et dĂ©sormais privĂ© dâarme, pestant contre le fait dâavoir laisser les autres au chĂąteau. Ce nâest quâaprĂšs s'ĂȘtre mis en garde, se prĂ©parant Ă se battre Ă main nue quâil remarquait la lueur orangĂ©e et chaude Ă cotĂ© de lieu et place de la lame brisĂ©e quâil sâattendait Ă voir se trouvait une arme incandescente, irradiante de chaleur et dont le tranchant ressemblait Ă du magma. Sa garde Ă©tait garnie de piquant formant une sorte de point amĂ©ricaine Ă lâallure redoutable ici. Il hĂ©sitait un instant, puis sâen saisissait. La chaleur quâelle dĂ©gageait Ă©tait intense, presque dĂ©sagrĂ©able dâaussi prĂšs. Mais il ne pouvait pas se permettre de sâen soucier, un nouveau coup de point se dirigeant vers choisissait alors de donner un coup de tranche plutĂŽt que de parer et laissait une traĂźnĂ©e jaune orangĂ©e dans le mĂ©tal du gantelet, qui disparaissait alors comme si il avait Ă©tait un sans-coeur Ă pare entiĂšre. Le dĂ©sespoir laissait alors place au courage dans son esprit et il sâĂ©lançait une fois de plus, tenant de passer derriĂšre lâarmure pour rĂ©cupĂ©rer sans moto et fuir la vague noire qui se rapprochait de plus en plus, semblant dĂ©sormais aussi provenir de ses cotĂ©s. Il devait toutefois lutter avec son irrĂ©sistible envie de compter ses anneaux en mĂȘme temps quâil se battait et laissait de nouvelles marques sur la cuirasse de la crĂ©ature des tĂ©nĂšbres face Ă le monstre s'effondrait, sans pour autant disparaĂźtre⊠Mais il nâavait plus le temps de lui porter le coup de grĂące, il reprenait son engin motorisĂ© et repartait en trombe jusquâĂ atteindre les limites de la villes et de rejoindre le chĂąteau. Ce nâest quâune fois les portes de ce derniers quâil s'effondrait, tombant Ă quatre pattes alors que ses jambes refusaient de le porter. Il savait quâil aurait peut y rester et il avait perdu le compte de ses anneaux, la situation idĂ©ale pour le faire angoisser. Une des gardes quâil avait malmenĂ© un peu plus tĂŽt se penchait alors vers lui, lui demandant si tout allait bien.â- Il me faut un vaisseauâŠPardon, je nâai pas bien compris ce que vous venez de jâai besoin dâun vaisseau prĂȘt pour aller Ă la salle dâarcade, et tout de suite !âSa derniĂšre phrase sonnait presque comme un ordre et ses interlocuteurs ne savaient absolument pas comment rĂ©agir. Ils pouvaient seulement le regarder se remettre debout et les bousculer pour prendre la direction dâun bureau quâil commençait Ă relativement bien connaĂźtre, se fichant Ă©perdument de devoir rĂ©veiller la moitiĂ© des habitant du chĂąteau pour obtenir un transport lui permettant de rentrer chez lui et de rĂ©cupĂ©rer de quoi garantir sa survie.
Vasy, viens, on va s'aimer. On se barre, on se casse, on prend nos cliques et nos claques et on part. Tous les deux, seuls pour une fois. Je veux pouvoir te parler toute la nuit, te désirer du regard, sentir tes yeux brûler ma peau. Prends ma main doucement, embrasse moi tendrement. Embrasse moi sauvagement, embrasse moi d'un désir ardent.