Campingmunicipal, 75 places, acceptant grands camping-cars, parcelles plates avec ou sans arbres sur herbe. Accueil super sympa. Id : 16184 - Créé le 26 06 2014 par Finistere29. GPS : N 43°56’52.8072” E 0°21’54.3168”. 43.948002, 0.365088. Adresse : Chemin de Gaugé. 32100 Condom.
La mort n'est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné, parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin. Canon Henry Scott-Holland 1847-1918, traduction d'un extrait de "The King of Terrors", sermon sur la mort 1910 Quelquefois attribué à Charles Péguy, d'après un texte de Saint Augustin Lamort n'est qu'un passage Je suis seulement passé dans la pièce à coté Je suis moi, vous êtes vous Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné Parlez-moi Editer l'article Suivre ce blog Administration Connexion + Créer mon blog. Rendez-Vous Coaching et Bien-Être Présentation. Blog: Rendez-Vous Coaching et Bien In memoriam Borhane Ben Miled passe dans la pièce d'à côté - Kapitalis juin 1, 2022 - Kapitalis In memoriam Borhane Ben Miled passe dans la pièce d'à côté Kapitalis... Les Corons un superbe hommage de Pierre Bachelet aux gueules noires » - AgoraVox juin 1, 2022 - AgoraVox Les Corons un superbe hommage de Pierre Bachelet aux gueules noires » AgoraVox... On a rencontré le pilote varois Cyril Raymond, un "débutant" qui visera haut au départ du 57e Rallye Antibes-Côte d'Azur - Nice matin mai 16, 2022 - Nice matin On a rencontré le pilote varois Cyril Raymond, un "débutant" qui visera haut au départ du 57e Rallye Antibes-Côte d'Azur Nice matin... Achraf Hakimi et la Roujoula attitude» - mai 26, 2022 - Achraf Hakimi et la Roujoula attitude» De plus en plus d'Ukrainiens réfugiés en Pologne rentrent à la maison», malgré la menace - Le Devoir mai 10, 2022 - Le Devoir De plus en plus d'Ukrainiens réfugiés en Pologne rentrent à la maison», malgré la menace Le Devoir... Cannes 2022 "La bible du biopic sur Ministère est faite"... Le rappeur Passi au cinéma avec "Le Prince" évoque ses projets - Nice matin mai 28, 2022 - Nice matin Cannes 2022 "La bible du biopic sur Ministère est faite" Le rappeur Passi au cinéma avec "Le Prince" évoque ses projets Nice matin... Jesuis juste de l’autre côté du chemin. La mort n’est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de
26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 1245 Voici quelques nouvelles ... J'ai le sentiment, à tout instant, que Malo va surgir de sa chambre, déguisé en Harry Potter ou en Dark Vador, et va me demander de l'aider à trier les pièces d'un puzzle. tri des côtés, des couleurs Lorsque je dis "à table", j'attends à voir mes deux trésors se précipiter dans la cuisine pour s'installer. Puis le désespoir envahi la maison. Anna essaie de réconforter sa maman, mais rien y fait ... Victor Hugo a écrit le 4 septembre 1852, soit 9 ans jour pour jour, après le départ accidentel de sa fille Léopoldine "Il me semblait que tout n'était qu'un affreux rêve, Qu'elle ne pouvait pas m'avoir ainsi quitté, Que je l'entendais rire en la chambre à côté, Que c'était impossible enfin qu'elle fût morte, Et que j'allais la voir entrer par cette porte! Oh! que de fois j'ai dit silence ! elle a parlé ! Tenez ! Voici le bruit de sa main sur la clé ! Attendez ! elle vient ! laissez-moi que j'écoute ! Car elle est quelque part dans la maison sans doute ! "JC a repris son travail lundi dernier, Anna n'a jamais arrêté l'école pendant ces moments douloureux et a tenu à "continuer à vivre normalement". Il semblerait que l'école lui fasse un bien fou. Etre une enfant insouciante et pleine de vie comme les autres pendant l'espace de quelques heures. Quant à moi, j'ai aussi décidé de reprendre le travail le plus vite possible soit lundi prochain. Je sais que ça va être très très difficile, mais si je ne reprends pas maintenant, je vais m'engouffrer dans un désespoir et une angoisse qui ne me permettront pas de reprendre le boulot avant très longtemps. Je tenais à remercier toutes les personnes qui se sont jointes à nous pendant la marche des plaquettes. C'était dur, évidemment, mais on l'a fait pour Malo, Bérénice, et tous les autres enfants partis trop tôt ou encore dans la galère de la maladie. Un site a mis à disposition des photos magnifiques de la marche, et "notre groupe" est reconnaissable puisqu'Anna a écrit sur nos tee-shirts MALO. Il y a de très belles photos de ma princesse, qui est passée sur plusieurs épaules, avec à la main une échelle de ballons ... voici le site Enfin, comme la lecture fait partie de moi, ce n'est pas un scoop c'est pas pour rien que Malo avalait tant de cabanes magiques et autres bouquins en tout genre j'ai décidé de vous dire mes lectures depuis le départ de Malo. Pas toujours, voire pas du tout joyeuses mais je sais qu'il y a des parents désenfantés comme nous qui viennent sur ce site et à qui ça peut faire du bien ... Alors voilà - Laure Adler "A ce soir" Récit du départ du petit Rémi 9 mois, fils de l'auteur, parti il y a 17 ans. L'idée que le temps n'efface rien , écrit d'une manière très sobre. Un peu loin néanmoins de notre univers, de ce que nous avons vécu. - Paul Vacca "La petite cloche au son grêle" C'est un roman, un petit bijou, un hymne au bonheur de lire. C'est aussi l'amour d'une mère et d'un fils. Et puis, en fil conducteur, il y a Marcel Proust ... - Harlan Coben "Innocent" Après de maintes tentatives, je n'ai pas franchi la 40ème page. Non pas qu'il ne soit pas bien, mais c'est un polar, à 10 000 lieues de mon univers actuel. A retenter dans quelques années .... - Catherine Loedec-Jorg "Falikou" C'est un conte sous forme de BD destinée aux enfants pour leur expliquer "l'autre chemin ...". Il a été écrit par une maman qui a perdu son fils. On m'a conseillé ce livre en septembre dernier. Je l'ai acheté, je l'ai lu, j'ai pleuré. Et puis je l'ai refermé, de toute façon c'est bien connu, le malheur n'arrive qu'aux autres et nous nous n'étions pas concerné par cette histoire. J'ai rangé ce livre pour que les enfants ne le lisent pas. Je l'ai oublié. Avant le départ de Malo, l'une des cadres de St Louis m'a conseillé ce livre. Pas la force, pas l'envie de le lire à Malo ... et puis Malo est parti, je l'ai relu et de nouveau pleuré, mais cette fois de ma faiblesse de n'avoir pas réussi à lui lire. Anna l'a lu. Je l'ai vu cogiter ensuite ... Présentation de l'éditeur Si Le Petit Prince s'était arrêté sur la planète "hôpital", et m'avait demandé "Dessine-moi un soignant", j'aurais pu dessiner quelqu'un en blouse blanche avec sa panoplie d'accessoires dans les mains ou dans les poches, car soigner c'est bien sûr faire des soins, réaliser des examens, donner des médicaments... mais comment représenter le "prendre soin", qui nous conduit parfois à accompagner un enfant sur un chemin difficile, à répondre à ses questions sans lui faire peur, mais aussi sans lui mentir... Si Le Petit Prince venait aujourd'hui, je pourrais lui lire Falikou, conte écrit par une mère à son fils, et je pense qu'il me poserait alors bien d'autres questions...- Philippe Forest "L'enfant éternel" OUUUUU. Comment dire ? un livre qui remue, magnifiquement écrit. Le parcours d'une petite fille dans la maladie, vu par le père et auteur du livre. J'ai trouvé certaines descriptions un peu "trop longues" mais l'ensemble est d'une cohérence et d'un réalisme où j'ai pu malheureusement me retrouver parfois ... Je commence ce soir "Adrien hors du silence" de Claude Couderc. Published by Sandrine - dans L'après ....
Jerecherche donc des informations sur les itinéraires menant à Compostelle à travers la Belgique. Il me semble qu’il y a deux grands tracés, l’un venant de Bruxelles, l’autre longeant la Meuse en provenance de l’Allemagne. Je pense que cette balise n’est pas tombée là par hasard, et qu’elle m’indique un chemin à suivre
In memoriam Borhane Ben Miled passe dans la pièce d'à côté - Kapitalis juin 1, 2022 - Kapitalis In memoriam Borhane Ben Miled passe dans la pièce d'à côté Kapitalis... Chaque parole lui demande un effort intense» Élise réapprend à communiquer avec son mari, victime d'un AVC - Le Parisien juin 3, 2022 - Le Parisien Chaque parole lui demande un effort intense» Élise réapprend à communiquer avec son mari, victime d'un AVC Le Parisien... Basket-ball NCAA Joshua Mballa, ce nouveau Bordelais qui rêve de NBA - Sud Ouest mai 30, 2022 - Sud Ouest Basket-ball NCAA Joshua Mballa, ce nouveau Bordelais qui rêve de NBA Sud Ouest... Interview - Will Joseph Cook et l'importance de chérir les bons moments - Sound of Brit juin 2, 2022 - Sound of Brit Interview - Will Joseph Cook et l'importance de chérir les bons moments Sound of Brit... La Bible, ce qu'ils en disent - La Croix juin 3, 2022 - La Croix La Bible, ce qu'ils en disent La Croix... Chaos au Stade de France "Je n'ai jamais eu aussi peur", le témoignage horrifié du combattant UFC Paddy... - RMC Sport juin 2, 2022 - RMC Sport Chaos au Stade de France "Je n'ai jamais eu aussi peur", le témoignage horrifié du combattant UFC Paddy RMC Sport...
Lamarche de la Maîtresse Maçonne. « Que peuvent signifier les pas de la marche de la Maîtresse Maçonne », est- il demandé dans le livret d’instruction au 3ème degré. La réponse indiquée est : « Tandis que les pas de l'Apprenti et de la Compagnonne se font au ras du sol, ceux de la Maîtresse, enjambant le corps d'Hiram

La mort n’est rien. Je suis seulement passé dans la pièce à coté. Je suis moi, vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent. Ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez de rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez ou ne priez pas. Souriez, pensez à moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été. Sans emphase d’aucune sorte, sans aucune trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos vues ? Pourquoi serais-je hors de vos pensées. Je ne suis pas loin. Juste de l’autre coté du chemin. Polémique sur l’attribution de ce texte à Charles Peguy Ce site Web utilise ses propres cookies et ceux de tiers pour améliorer nos services et vous montrer des publicités liées à vos préférences en analysant vos habitudes de navigation. Pour donner votre consentement à son utilisation, appuyez sur le bouton Accepter.

Merryme regarde fixement, me dévore limite du regard. Je souris et ne la lâche pas non plus. J'ai cru sentir son souffle s'accéléré à notre contact, j'ai cru s 🌸 “Ne pleure pas devant ma tombe” 🌸 Ne reste pas là à pleurer devant ma tombe, je n’y suis pas, je n’y dors pas… Je suis le vent qui souffle dans les arbres. Je suis le scintillement du diamant sur la neige. Je suis la lumière du soleil sur le grain mûr. Je suis la douce pluie d’automne… Quand tu t’éveilles dans le calme du matin, je suis l’envol des oiseaux silencieux qui tournoient dans le ciel… Alors, ne reste pas là à te lamenter devant ma tombe. Je n’y suis pas, je ne suis pas mort ! Pourquoi serais-je hors de ta vie simplement parce que je suis hors de ta vue ? La mort tu sais, ce n’est rien du tout. Je suis juste passé de l’autre côté. Je suis moi et tu es toi. Quel que soit ce que nous étions l’un pour l’autre avant, Nous le resterons toujours. Pour parler de moi, utilise le prénom avec lequel tu m’as toujours appelé. Parle de moi simplement comme tu l’as toujours fait. Ne change pas de ton, ne prends pas un air grave et triste. Ris comme avant aux blagues qu’ensemble nous apprécions tant. Joue, souris, pense à moi, vis pour moi et avec moi. Laisse mon prénom être le chant réconfortant qu’il a toujours été. Prononce-le avec simplicité et naturel, sans aucune marque de regret. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié. Tout est toujours pareil, elle continue, le fil n’est pas rompu. Qu’est-ce que la mort sinon un passage ? Relativise et laisse couler toutes les agressions de la vie, pense et parle toujours de moi autour de toi et tu verras, Tout ira bien. Tu sais, je t’entends, je ne suis pas loin, Je suis là, juste de l’autre côté.❤ Mary Elizabeth Frye Morgane Le Moelle – Colore ta Vie ! 🌸 Rénovationpierre de tuffeau. Ce sujet comporte 15 messages et a été affiché 461 fois. Nouveau sujet Répondre. Aryoskar Auteur du sujet. Le 04/02/2019 à 09h59 Env. 40 message Maine Et Loire. Bonjour à tous, Toujours dans le cadre de la rénovation de notre maison en Anjou, nous avons fait sauter un enduit qui était sur un mur intérieur “Je suis juste de l’autre côté du chemin” – Henry Scott-Holland Souvent lu lors des obsèques, ce poème est parfois aussi attribué à St Augustin ou encore à Charles Péguy. La mort n’est rien, je suis seulement passé, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez-moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin. Vous voyez, tout est bien. lechemin est il beau d'un bout à l'autre n'y a t'il pas trop de route du cote le chemin de stevenson, je suis rentré chez moi avec des souvenirs plein la
24 août 2022 3 24 /08 /août /2022 1131 De Clermont-Ferrand presque à Clermont-l'Hérault et un peu plus en passant par la Lodève avec mon vélo - 2ème partie en suivant le Tarn jusqu'au Rozier Jour 5 Le Bleymard – Pt de Monvert - 35km/720m+ Super petit dèj à volonté même si on prévient les gens que ce n’est pas possible d’en faire des picnics…. Héhéhé… Je prends juste un œuf dur et hop en avant vers le Lozère. J’y suis venu souvent à pied lors de belles randos mais jamais avec vélo. Une première donc. Le panneau affiche 10,950 km de montée, une pente moyenne de 4,36 % avec un passage à 7,9 % et un dénivelé total de 466m . Une rigolage mais faut quand même le faire. Pause à la station de ski du Bleymard pour combien de temps encore où les Stevensoniens débarquent en masse. Dernier passage jusqu’au col. Sur la route un oiseau vient de se faire taper par une caisse assassine. Je le ramasse et le pose délicatement dans des fougères. Je saurai par la suite que c’est un Bruant Jaune.. trop triste. Arrivé au col sans heurt et je regarde un long moment le paysage immense...... À perte de vue l'immensité des Causses à traverser Pas un banc pour se poser, je descends jusqu’à Finiels et j’en trouve un squatté par des poules de toutes les couleurs qui me font une petite place en rouspétant un peu. A peine arrivé, elles se remettent à dormir accablées comme moi par la chaleur. Je me demande comment les randonneurs la supportent de leur coté avec tout le barda qu’ils ont sur le dos et leurs grosses tatanes aux pieds. Au moins moi je ne porte rien. Un peu plus bas, je trouve la route que je cherchais et qui va me permettre de sillonner les flancs du Lozère. C’est un paysage qui me transporte par ces roches granitiques posées parfois en équilibre, ses forêts de feuillus ou de pins, ses petits ruisseaux qui serpentent lentement dans la pente, ses villages de pierres et de lauzes abandonnés ou restaurés avec goût. Très vite la route se transforme en piste mais tout à fait possible avec vélo bien qu’il n’ait pas l’appellation Gravel’ très à la mode maintenant. Ça roule bien. Je me mets à l’abri du soleil et de la chaleur dans un petit bosquet et sa petite rivière. Je me suis fait littéralement jeté du hameau précédent quand j’ai voulu m’y arrêter pour la pause de midi et que l’on m’a gentiment répondu Oui, à condition de ne pas laisser de saloperies ! » Saloperie toi même que j’ai failli répondre à cette pouffiasse de première. Mais je sais me tenir et je suis parti en la remerciant pour l’accueil. Et du coup je trouve ce petit coin de paradis loin de ces énergumènes mal élevés. S’ils savaient combien de fois je suis passé à pied ici sans rencontrer personne et sans demander la permission de m’y arrêter. Des randonneurs passent sans me voir, certains nu-têtes, ce qui n’est pas raisonnable par ce cagnard et d’autres bien à l’abri sous casquettes et chapeaux. Je continue la balade jusqu’à l’Hôpital qui fut une commanderie de Templiers il y a un certain temps et puis c’est le long du Tarn bondissant que je rejoins Pont de Montvert, une de mes étapes favorites dans ce coin génial de Lozère. Pont de Montvert. J’ai réservé à l’Auberge des Cévennes où un certain Stevenson y a fait étape. Moi aussi avec mes amies Flo et Jeanne il y a une dizaine d’années ou plus. Mais quels changements finie la petite auberge rustique avec ses tables recouvertes de nappes vichy, ses chambres séparées par des minces planches de bois et de leurs lits ressemblant plus à ceux d’une rivière. WC sur le palier et confort simplissime. Non, maintenant c’est une belle auberge classée 2** toute refaite et peinte Farrow and Ball if you please. Déco choisie avec phrases d’écrivains écrites sur les murs. Heureusement, un certain Sylvain Tesson n’a pas le droit à la parole mais plutôt Stevenson, Loïc Perron et bien sur Nicolas Bouvier. Que du beau monde. J’ai l’honneur d’occuper la chambre de Stevenson himself avec son lit à une place enfin, pas la paillasse de l’époque je pense mais où Modestine ne tiendrait pas. Élégamment décorée, elle me replonge dans le passé de cet étrange voyageur. L’accueil est très sympa et l’on se sent tout de suite bien dans cette auberge du bout du monde où je déguste enfin cette merveilleuse bière des fameux brasseurs de la Jonte on y reviendra. Je retrouve Anne, une amie de mon asso préférée accompagnée d’un homme charmant pour un excellent dîner en terrasse. C’est la méga belle vie !!!! Ils m’invitent à une fête de village à Vialas à 20km et 350 virages qu’elle connaît par cœur le tout en 40mn. C’est la nouvelle Michèle Mouton et heureusement que je suis à l’avant car j’aurais dégueulé ce très bon repas ce qui aurait été dommage. Je sais pourquoi je n’habite pas dans le coin. Croisé trois adorables marcassins et un très jeune faon qui semblait bien loin de sa mère. Tout le monde indemne. La fête bat son plein et la Kro coule à flots. Le groupe, un guitariste, un batteur, une bassiste vraiment bien et une chanteuse enchaînent les classiques de Prince, Police, Steve Wonder, Bowie et consorts… pas mal même si la chanteuse trouve vite ses limites dans certains registres hauts. On repart dans l’autre sens mais sans animaux qui traversent dans la nuit. Dodo. LA CHAMBRE DE M. STEVENSON EN 2022 ET LA DECO DE L'HOTEL Jour 6 Pont de Monvert – Florac par les Bondons – 35km/600m+ Petite journée pour retrouver un autre ami de mon asso préférée, François également boulanger. Alors je fais un beau détour par ce bout du Mt Lozère qui offre encore des paysages époustouflants comme ces fameux Bondons venus de nulle part. C’est aussi le deuxième site mégalithique de France après Carnac. Et bien c’est dans ce petit détour » que je vais me farcir les plus durs dénivelés du voyage avec des pentes à 11 % non indiquées sur la carte. La vache !!!! Heureusement, cela ne dure pas trop longtemps et comme le spectacle vaut cet effort, il est vite oublié. Ces deux bosse presque parfaites peuvent faire croire à une création artistique mais c’est bien la nature dans sa toute beauté qui les a posées là et on admire…. Descente et grosse cagne, je perds 700m en arrivant à Florac…. François m’attend pour le déjeuner….repos et on s’écroule tous les deux durant deux heures . Il fallait bien ça pour se remettre d’aplomb. Je rends aussi visite à des amis de longue date car Marc vivait à Racoules quand j’y séjournais c’est à dire avant 1980. J’avais été à leur mariage à pied depuis Alès. Ils ont toujours une petite boutique où il expose ses bijoux et elle ses créations aussi diverses que son imagination. C’est Mylène Micoton et Paintout...et autres folies. Ils ont toujours le sourire et c’est génial de les voir comme ça. Le soir, anniversaire de ses amis et partie de pétanque. Mais j’ai affaire à des pros dont une fille qui pointe exactement où elle décide et à chaque fois. C’est pas du bol et je me prends un beau râteau. Retour vers 22h00 et dodo !!!!!!!!!!!! Il a un peu plu dans la nuit et c’est une belle fraîcheur qui m’accueille au matin. Tant mieux. Hier en faisant quelques courses au magasin bio local, j’ai vu des lampes de chevet fabriquées sur la base de vieux téléphones à touches et François m’a dit que l’artiste les exposent à Ispagnac sur mon chemin et je ne manque pas de m’y arrêter pour voir le travail de cette Bricologue de génie. J’en choisis une qui sera très bien près de mon lit. Reste plus qu’à régler le transport car impossible de l’emporter à vélo… on s’arrange. Merci Madame. Pas trop de monde ce dimanche gris et c’est tant mieux pour rouler et se régaler dans les gorges. Des petits hameaux de pierres nichés dans les falaises, Castelbouc. Petit village accessible par un élégant pont enjambant la rivière, St Chély du Tarn. Ste Enimie n’est qu’une rue à souvenirs. Arrêt à La Malène pour un picnic au bord du Tarn presque sec. Et dire qu’on y pratique le canoë en temps normal. Mais qu’est qu’un temps normal aujourd’hui ? Au moment de partir, j’enfile la veste de pluie pour les quelques gouttes qui se mettent à tomber mais à peine quelques mètres faits c’est une véritable tornade qui s’abat sur moi et me stoppe sur place. Je fais demi tour fissa pour me mettre à l’abri sous un barnum du village où je retrouve des motards en attente d’une accalmie. Ça dégringole sévère, les rues se transforment en rivières mais il en faudra certainement plus pour assouvir la terre. Puis la pluie se calme et je peux repartir. La route est jonchée de branches plus ou moins grandes arrachées par le vent. Quand elles ne sont pas trop lourdes, je les mets sur le coté. La gendarmerie est déjà là pour constater. Des cailloux sont tombés des parois. Ah mais quels dégâts !!! Ce n’est pas fini dans la rubrique calamité ». Petite incursion en Aveyron avant d'arriver au Rozier où une noria de camions de pompiers stationnent au bord de la route. J’apprends qu’ils viennent de fixer un grand feu dans le village voisin de Mostuéjouls. La route était fermée et les gens viennent juste de recevoir la permission de rentrer chez eux. Tout le village en parle et il suffit de grimper au pied de la tour qui le domine pour s’apercevoir de l’étendue de l’incendie. Ça sent le cramé. Mais c’est en même temps un point de vue magnifique sur les trois causses qui se rejoignent ici Méjean, Sauveterre et Noir. J’ai une chambre dans l’annexe de l’hôtel et après une bière des Brasseurs je me régale d’une excellente pizza. Repos avant la longue journée de demain. Bonuit Jour 8 Le Rozier – Meyrueis – Mt Aigoual – 44km / 1360m+ En quittant Le Rozier, on suit les gorges de la Jonte jusqu’à Meyrueis et si celles ci sont moins connues que celles du Tarn, c’est certainement parce qu’on n’ y pratique pas le canoë mais elles sont aussi spectaculaires. Les falaises qui la bordent sont les nichoirs des emblématiques Vautours et accueillent des rochers aux noms prestigieux tels les Vases de Sèvres ou de Chine, gros blocs posés dans le vide. Le Roc de Bordeaux domine la vallée de toute sa masse. Sans parler des innombrables grottes comme celle de Dargilan sur le Causse Noir ou l’Aven Armand sur le Causse Méjean. Y’a de quoi s’occuper. Un paysage unique que les yeux ne finissent pas d’observer pendant le voyage tranquille avec vélo. Meyrueis m’accueille sur des airs de Johnny et autres chanteurs populaires. C’est jour de brocante et une autre de mes étapes préférée. Je picnic au bord du Béthuzon qui fait à peine glouglou. Je me suis offert un Far Cévenol à base de châtaignes forcément qui va me régaler les papilles au dessert. Maintenant c’est le plat de résistance dans la montée jusqu’à l’Aigoual. Il me reste 25km et 850m de dénivelé. Ça va le faire ! Je m’arrête à Gatuzières chez les Brasseurs de la Jonte pour demander s’ils n’auraient pas quelconque boisson sans houblon, genre de l’eau… Ah ben bien sur !! Et ça va bien m’aider pour terminer la grimpette. Trois heures pour atteindre le sommet de cette montagne bien connue comme limite de partage des eaux entre Atlantique et Méditerranée. Il fait grand beau et malgré la brume de chaleur, je peux contempler le panorama incroyable qui m’est offert !!!! Je ne me lasserai jamais de voir ces paysages sublimes des Causses. J’y suis venu une fois en hiver et j’ai pu admirer un panorama qui allait du Mt Blanc à la chaîne des Pyrénées sans oublier toute celle des Puys. Tout ceux qui avaient fait l’effort de venir ce jour ont été bien récompensés. Des Oh !!! et des Ah !!! en pagaille. Après une douche revigorante et une bonne sieste, c’est l’heure de la gorgée de houblon et la bière Black Star du Vigan fait le job parfaitement. La terrasse est bondée mais elle va se vider peu à peu avec l’heure qui avance. La table d’orientation écrit Sète de la vieille manière, preuve qu’elle ne date pas d’hier CETTE. Pendant le repas je dors au gîte au sommet tout le monde se rue dehors pour voir le splendide coucher de soleil. Ooooooh ! Au petit dèj, le serveur du matin m’assomme avec une musique vraiment insupportable. Difficile de lui dire de la fermer et je me réfugie en terrasse où le spectacle est encore sensationnel. Les Causses se réveillent sous la chaleur du soleil naissant. Je vais avoir du mal à quitter ce lieu et pourtant je le quitte. Descente douce jusqu’à L’Esperou où je fais quelques courses pour mes hôtes de ce soir Pélardons et Bière de la Jonte, y’a pas mieux dans le coin. Une boutiques de Producteurs’ propose des produits hors de prix et je me contente seulement d’un autocollant du Parc des Cévennes que ces radins vendent 1,50€. Ya pas de petit profit ! Pause à Dourbies où je suis aussi venu en rando ou même à moto mais la boutiques des Producteurs’ propose des produits hors de pris et je me content Rien n’a changé et surtout pas la cathédrale prétentieuse pour une village 100 habitants, juste là pour faire la nique aux protestants locaux. Le catholicisme s’affiche lourdement. Les poubelles débordent mais n’intéressent visiblement pas les agents communaux occupés à ranger tables et bancs des agapes passées. La descente continue dans un paysage aride Série de petits cols pour atteindre St Jean de Patrick » Bruel et son beau pont du 13° qui enjambe la Dourbie. Picnic et petite sieste dans un parc à l’ombre. Je suis descendu de 1000m et la chaleur est déjà écrasante. Deux messieurs sur un banc et leurs boules de pétanque à la main attendent des copains pour commencer la partie. Comme l’un deux a un vélo elec Gas-Gas, je lui demande s’il sait qu’ils font aussi des motos. La papy est tout à fait au courant et me parle illico des courses de MotoGP où la marque est engagée et de son passé de pilote de course. Il me dit avoir piloté une MV500 et participé à une épreuve où M. Agostini était présent. Pas mal comme CV et chapeau bas ! 250m à gravir sous la cagne pour arriver à Sauclières où des gens m’attendent. Belle étape chez cet ancien agent territorial de Beaucaire qui a démissionné comme beaucoup d’autres quand le FN a pris possession de la ville. On se rencontrait souvent dans le train entre Avignon et Beaucaire avec nos vélos suspendus. Nous avons sympathisé et il m’a dit que je serais le bienvenu si je passais dans le village où il a acheté cette vielle maison, ancien hôtel qui a gardé un charme avec son escalier en planches mal équarries et ses chambres peintes à la chaux en couleur pastel. Le village se prépare à la fête et comme leur maison donne directement sur la place, ils vont partir pour éviter la folie locale comme le dit si bien le maire » Des gens si respectables toute l’année qui s’enivrent au pastis durant tout un week-end, c’est un peu incompréhensible ». Mais c’est cà les fêtes vomitives. Jour 10 Sauclières – Le Caylar – 25km / 300m+ Une étape de rien mais je veux m’arrêter une nouvelle fois dans ce beau village du Larzac où une cycliste m’accueille pour la nuit et puis le trajet est superbe dans cette traversée de ce plateau semi désertique que j’affectionne aussi. Après un bon petit dèj je pars dans la fraîcheur car il a plu cette nuit. Une petite grimpette et au col de la Barrière, je repasse dans le Gard. Après Homs, un panneau m’informe d’une galerie de Verre au Mas Gauzin. Petit détour qui en vaut la peine car perdu dans ce minuscule hameau, je peux admirer le travail d’un grand verrier qui s’appelle Xavier Carrère, le dompteur de verre comme on le nomme. Tout un programme ! Heureusement que je suis à vélo car j’aurais pu partir avec une de ses pièces exposées mais il aurait tout de même fallu que je casse ma tirelire. Long moment à discuter avec la dame de la galerie… et des gens du village. A peine reparti, c’est maintenant l’Hérault qui m’accueille au bout de quelques kilomètres. Quel voyage ! Au Cros, on se croirait revenu cinquante ans en arrière avec cette belle R8 Major stationnée au milieu du village. Brigitte est une cycliste hors norme qui a fait du vélo une philosophie de vie comme voyager à travers le pays avec le vieux vélo de sa mère, visiter la Birmanie ou le Chili avec l’avion tout de même ou l’Écosse sous la pluie. Elle avoue même en faire trop. Je ne savais pas que ce concept pouvait exister dans la pratique du vélo. Elle m’accueille dans sa belle et grande maison où plein de détails rappellent ses voyages et ses chinages. On est tout de suite bien. Elle invite les Martins pour le repas du soir et nous voilà tous réunis autour d’un beau repas partagé . Quand il y en pour deux il y en a pour six. Pour preuve. Ciel gris et belle fraîcheur le matin et après un somptueux petit déj je peux filer pour la presque dernière journée et rallier Lodève où d’autres amis m’attendent. Il faut passer par Les Rives et puis, par une merveilleuse route qui sillonne ce Causse descendre juste après un temple Bouddhiste où les gens se pressent pour trouver une sérénité disparue ou en sommeil le parking est bondé par une autre belle route avec le lac de Salagou en fond d’écran. Lodève et repos pour trois jours. Une belle et grande caravane m'attend pour ce moment de détente avec une petite piscine pour se rafraichir...Ouahouuuuu !!!!! C’est le bonheur. Saluer ses amis après quelques travaux en commun, des bons repas et des belles parties de Tarot et partir. Dernier jour du voyage et c’est le retour. Je choisis de passer par le lac du Salagou et par une piste que je n’avais pas osé encore emprunter mais après les options du Mt Lozère, je sais que je peux passer par là et puis ça évite presque tout le temps les routes trop fréquentées et en plus il y a une vue imprenable sur le lac et ses collines. On n’hésite pas. Avant le lac, deux cyclistes me confirment que la piste est bien roulante même avec mes pneus fins. Eux sont à VTT. Parfait. Tout se passe à merveille quand une pédale casse dans une belle montée . Chiotte de crotte ! J’arrive à atteindre l’Intersport de Clermont-l’Hérault où le gars en charge du rayon vélo me change la pédale de suite sans compter de main d’œuvre. Cela fait deux fois que ces types me sortent de la mouise. Le dernière fois, c’était à Coutances pour un boîtier de pédalier à changer. Merci les gars !!!! Reste plus qu’à rallier Agde par une vraiment grosse chaleur mais le plus dur est fait. Je longe un peu l’Hérault quand c’est possible et dommage qu’il n’existe pas de voie verte le long de ce fleuve car cela pourrait être une option magnifique, la campagne environnante ne présentant pas vraiment d’intérêt particulier. Il existe d’ailleurs une ancienne voie de chemin de fer inutilisée qui pourrait vraiment faire l’affaire, la voie de chemin de faire. J’ai quand même pris le temps de visiter Pézenas, la ville de Bobby Lapointe très belle mais j’ai raté le pont Romain près de St Thibéry. Il m’aurait fallu une carte plus détaillée pour me faufiler dans ce dédale de petites routes où il y a peu d’indications. Mais j’arrive à bon port et je commande derechef une grande bouteille d’eau fraîche au café de la gare et avec des glaçons ? » me demande le serveur ? Que oui !!!! Deux hommes assis à la table d’à coté me posent très vite des questions et nous voilà à échanger sur nos parcours de vies. Eux marins dont un heureux qui vient de vendre son voilier, l’autre de passage car le sien est amarré en Guadeloupe ; un 12m acier à bouchains qu’il a construit et sur lequel il vit depuis 40 ans. Alors on discute un peu voile et voyages. J’ai toujours dans un tiroir la croisière entre La Rochelle et Les Baléares faite en 1977 ou 78 je ne sais plus vraiment. Lui est parti d’Agde vers les Baléares, Gibraltar, Tanger, Canaries, Cap Vert, Brésil et Fernando de Noronha bien sur et enfin les Caraïbes. Un classique ! Le train entre en gare et je me barre...au revoir Messieurs ! Et bonjour la maison !!! Published by didier falleur - dans correspondance photos velo voyage

️🎬 Le gouverneur de la Floride, DeSantis, à propos du Dr Fauci : "Je suis juste malade de le voir. Je sais qu'il dit qu'il va prendre sa retraite. Quelqu'un doit attraper ce petit elfe et le balancer de l'autre côté du Potomac !" 26 Aug 2022 04:32:46

La nuit n’est jamais complèteIl y a toujours, puisque je le dis, puisque je l’affirme,Au bout du chagrin, une fenêtre ouverte, une fenêtre y a toujours un rêve qui veille, désir à combler,femme à satisfaire, un cœur généreux, une main main ouverte, des yeux attentifs, une vie. La vie à j’aurai fini ma route, au dernier train de mon dernier adieu,je voudrais bien pouvoir partir heureux, quitter enfin mes nuits de me faudra pousser la porte et embarquer sans espoir de retour,Pour le pays de l’éternel défilé et sans escorte, j’épouserai ma solitude,compagne froide de mes longues nuits et brume grise de mes jours de pluie,ma soeur de larmes et d’inquiétude. Bien que n’ayant aucun bagage, j’emporterai les mille et une fleursque j’ai cueillies au détour du bonheur, chez tous mes amis de souvenir des jours de peine s’effacera dans le dernier matinet je n’aurai dans les creux de mes mains, que le regard de ceux que j’ si je n’ai vécu ma vie que pour aimer d’un impossible amour,que pour rêver qu’il rime avec toujours, je sourirai de ma si c’était une naissance, une autre terre et un autre si c’était comme un nouveau réveil, une éternelle renaissance. La mort n’est rien, je suis seulement passé dans la pièce à suis moi, vous êtes vous. Ce que j’étais pour vous je le suis le nom que vous m’avez toujours comme vous l’avez toujours pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou à rire de ce qui nous faisait rire ensemble, priez, souriez,pensez à moi, priez pour mon nom soit prononcé à la maison, comme il l’a toujours été,sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ vie signifie tout ce qu’elle a toujours été. Le fil n’est pas serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue? Je ne suis pas loin, juste de l’autre côté du chemin.
oBLr.
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